Battus par Paris lors de leur première sortie amicale la semaine dernière (33-24), les Ivryens ont fait bien mieux ce mercredi en obtenant le nul sur le parquet de Dunkerque (27-27), un potentiel adversaire direct. Intéressant pour monter en puissance.

 

Les Rouge et Noir avaient des objectifs affirmés au moment de pénétrer dans l’antre des Nordistes pour cette deuxième rencontre amicale de l’été. Et ils ont plutôt bien tenu leurs engagements puisqu’ils ont su mettre en échec les locaux en repartant avec un nul dans leurs bagages. Notamment en tenant le choc sur un dernier ballon bien chaud avec une défense de fer.

Il faut dire que tout au long des 60′, les deux équipes ne se sont quasiment pas lâchées. En première période, elles se rendaient d’abord coups pour coups (6-6 à la 13′) avant que les Maritimes ne rejoignent les vestiaires avec une légère avance (16-14 à la 30′). Dans le second acte, l’USDK était un peu devant (22-20 à la 44′), mais les visiteurs s’accrochaient avec notamment un très bon Théophile Caussé en défense ou encore Linus Persson ou Simon Ooms intéressants en attaque. Les Val-de-Marnais avaient même quelques belles occasions pour potentiellement passer devant. Le nul était néanmoins à la clef et ce n’était pas si mal.

Le coach, Sébastien Quintallet détaille : « C’est un vrai bon deuxième match. On commence à mettre des choses en place, certaines doivent évidemment être améliorées mais c’est vraiment encourageant. On travaille sur l’état d’esprit notamment et il y a de bonnes choses. Vraiment il y a du positif dans ce que l’on voulait voir ce soir. Défensivement, on a eu de bonnes phases même si je pense qu’il faut qu’on ait plus d’ambitions sur le poste 2 notamment aux duels, quand on veut arrêter le ballon. Même s’il y a une réelle satisfaction défensivement, je pense que l’on peut être encore meilleurs. En attaque, on a eu quelques belles phases, avec quelques petites relations. Ce qui importait sur cette rencontre, c’était notre façon de jouer mais on était aussi venu pour gagner. On repart avec un nul d’un endroit où il n’est jamais facile de faire un résultat, cela permet de poursuivre notre travail avec de la confiance. »